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Toutquitter pour vivre ses idĂ©aux DorothĂ©e et Damien, tous les deux trentenaires, sont originaires de Bruxelles oĂč ils exerçaient jusqu’à peu les mĂ©tiers d’architecte d’intĂ©rieur et d’architecte. Une vie agrĂ©able, de bons boulots, mais un systĂšme capitaliste qui leur posait trop de questions et duquel ils se sentaient de plus en plus dĂ©connectĂ©s. Enviede tout plaquer pour vivre en bord de mer ? Eux, l'ont fait, dans le Sud de la France, et nous racontent leur vie au quotidien. Par ValĂ©rie Carreno / FrĂ©dĂ©ric Sautai · PubliĂ© vendredi 30 septembre 2016 Ă  13h56 Avec Aujourdhui, je prends enfin le temps de partager les premiĂšres photos de notre nouvelle maison dans le Sud-Ouest. Cela fait presque 2 mois que nous avons commencĂ© notre nouvelle vie ici, et mĂȘme si cela a Ă©tĂ© une dĂ©cision difficile Ă  prendre, je suis convaincue que c’est le meilleur choix que nous ayons jamais fait ! Quitter Paris ChristopheRobelin s’est installĂ© comme boucher Ă  Lewarde il y a presque 20 ans. C’était en 2003. Pour rien au monde il ne quitterait sa UneemployĂ©e du milieu de la santĂ© pour le PLQ dans La Prairie. Il y a 6 heures. Le Parti quĂ©bĂ©cois annonce sa candidate dans Sanguinet . Plus de nouvelles. Faits divers. 2022-08-12. Suspect recherchĂ© pour bris de conditions. 2022-08-12. Vente itinĂ©rante frauduleuse. 2022-08-11. L’identitĂ© du motocycliste dĂ©cĂ©dĂ© Ă  Candiac est connue. Plus de nouvelles. COVID-19. Lieux De Rencontre Aix En Provence. Quitter le Canada pour s’installer aux États-Unis nĂ©cessite un certain nombre de prĂ©paratifs. Voyez-y le plus tĂŽt possible pour que la transition s’effectue sans partie Avant de partir – Neuf choses Ă  savoirÇa y est, vous mettez le cap vers le sud de la frontiĂšre ! Que ce soit pour le travail, la famille, les Ă©tudes ou toute autre raison, quitter le Canada et s’installer aux États-Unis n’est pas peu de chose. Nous avons beau partager une frontiĂšre, une langue et plusieurs jours fĂ©riĂ©s avec les États-Unis, il existe tout de mĂȘme de nombreuses diffĂ©rences entre les deux pays. C’est une rĂ©alitĂ© dont on ne mesure bien l’ampleur que lorsque l’on commence Ă  vivre aux sĂ©rie en cinq parties, dont voici la premiĂšre, aborde le dĂ©mĂ©nagement et la vie aux États-Unis pour un citoyen canadien. Vous y trouverez les Ă©tapes Ă  envisager avant de partir, Ă©tapes qui peuvent vous faire gagner temps et argent, et vous Ă©pargner bien des maux de tĂȘte. En fait, selon Geoff Hartley, conseiller financier Ă  RBC Dominion valeurs mobiliĂšres, le meilleur conseil que je peux donner aux Canadiens qui dĂ©mĂ©nagent aux États-Unis est de commencer le plus tĂŽt possible Ă  planifier et de rechercher les conseils d’un spĂ©cialiste en la matiĂšre ».Neuf sujets de planification avant le dĂ©part aux États-Unis Ă  quoi s’applique l’impĂŽt de dĂ©partLa premiĂšre chose qu’un Canadien qui s’installe dans un pays Ă©tranger et qui, donc, n’est plus un rĂ©sident du Canada aux fins de l’impĂŽt doit savoir, c’est qu’il devra payer un impĂŽt dedĂ©part » appelĂ© aussi impĂŽt sur la disposition prĂ©sumĂ©e » sur les gains en capital accumulĂ©s sur bon nombre de ses actifs, y compris ses placements, que ceux-ci aient Ă©tĂ© vendus ou non avant le dĂ©part. Cet impĂŽt s’applique dĂšs que vous perdez votre statut de rĂ©sident actifs en sont entiĂšrement exemptĂ©s parce que vous payez un impĂŽt canadien quand vous les vendez, en recevez des distributions ou en disposez, par exemple quand vous vendez un bien immobilier au Canada, que vous recevez les distributions d’un compte enregistrĂ© REER et FERR ou que vous exercez les options d’achat d’actions que vous a octroyĂ©es votre employeur. Les biens immobiliers hors Canada et les placements non enregistrĂ©s comme les actions ou les fonds communs de placement, toutefois, sont assujettis Ă  l’impĂŽt de dĂ©part. L’impĂŽt de dĂ©part ne s’applique pas si vous demeurez un rĂ©sident du Canada aux fins de l’impĂŽt pendant que vous ĂȘtes Ă  l’ est recommandĂ© de rencontrer un fiscaliste bien avant votre dĂ©part pour cerner les stratĂ©gies Ă  adopter pour rĂ©duire ou diffĂ©rer les obligations fiscales dĂ©coulant de votre statut de rĂ©sidence au vous perdrez votre statut de rĂ©sident canadien, l'impĂŽt de dĂ©part est un aspect qui demandera une planification bien Ă  l'avance pour que vous et votre fiscaliste ayez le temps de concevoir une stratĂ©gie visant vos DĂ©cider que faire de la maisonDevriez-vous la vendre ou la conserver ? La raison de votre dĂ©part pour les États-Unis vous donnera assez facilement la rĂ©ponse. Si vous ne prĂ©voyez pas revenir de sitĂŽt au Canada, vendre la maison tombe sous le sens. Mais si vous avez un contrat d’un an ou deux aux États-Unis et comptez rentrer au pays lorsqu’il prendra fin, vous auriez intĂ©rĂȘt Ă  la deux facteurs Ă  garder Ă  l’esprit par rapport Ă  l’impĂŽt En conservant votre maison au Canada, une attache importante, vous signalez Ă  l’État que vous ĂȘtes toujours rĂ©sident canadien. Vous devrez donc payer des impĂŽts au Canada sur les revenus gagnĂ©s Ă  l’étranger. Et si vous vivez et travaillez physiquement aux États-Unis en mĂȘme temps, vous pourriez avoir Ă  payer des impĂŽts sur ce mĂȘme revenu aux États-Unis Ă©galement. La Convention fiscale entre le Canada et les États-Unis pourrait vous Ă©viter d’avoir Ă  payer de l’impĂŽt dans les deux vendant votre maison, vous indiquez Ă  l’État que vous ne comptez plus rĂ©sider au Canada. Vous ne serez donc assujetti, en tant que non-rĂ©sident canadien, qu’à l’impĂŽt sur les revenus gagnĂ©s au Canada. Si vous envisagez de garder votre maison et de la louer pendant votre absence, cette stratĂ©gie pourrait avoir des consĂ©quences fiscales dans les deux pays. LĂ  encore, il est important d’évaluer l’incidence de cette dĂ©cision sur vos finances. Dans un cas comme dans l’autre, il est prĂ©fĂ©rable de trancher avant de logerLa dĂ©cision se rĂ©sume Ă  un choix entre l’achat et la location. Les gens sont nombreux Ă  opter d’abord pour la location, afin d’apprendre Ă  connaĂźtre le quartier et leur nouvelle ville avant d’ dĂ©cident d’acheter sans attendre. La bonne nouvelle, c’est qu’il est relativement facile pour les Canadiens d’acheter une maison aux États-Unis. Il faut cependant trouver une banque qui est disposĂ©e Ă  financer les acheteurs canadiens. Vos antĂ©cĂ©dents de solvabilitĂ© au Canada peuvent servir Ă  dĂ©terminer votre admissibilitĂ© Ă  un prĂȘt trouverez plus de dĂ©tail sur l’achat d’une maison dans la troisiĂšme partie de cette sĂ©rie, mais voici briĂšvement quelques conseils Trouvez un agent immobilier qui a dĂ©jĂ  travaillĂ© avec des une banque quiconnaĂźt le marchĂ© hypothĂ©caire des deux cĂŽtĂ©s de la frontiĂšre et qui, par consĂ©quent, comprend le processus que doivent suivre les Canadiens qui achĂštent une propriĂ©tĂ© aux traitement d’une demande de prĂȘt hypothĂ©caire aux États-Unis exige plus de temps qu’au Canada 45 Ă  60 jours. Il n’est donc pas possible de tout conclure les enfants Ă  l’écoleSi vous avez des enfants, la proximitĂ© de bonnes Ă©coles compte pour beaucoup dans le choix de l’endroit oĂč aller vivre. Vous voudrez aussi vous renseigner sur le profil dĂ©mographique de l’école envisagĂ©e, sur l’expĂ©rience de ses enseignants et sur ses ratios Ă©lĂšves enseignants. Ă©value les Ă©coles dans les quartiers qui vous Rassembler les documentsPour amorcer les dĂ©marches, vous devrez d’abord rassembler les documents exigĂ©s pour l’obtention du visa requis, et puisque la nature de celui-ci dĂ©pendra du motif de votre sĂ©jour aux États-Unis, il serait judicieux de consulter le site du dĂ©partement d’État amĂ©ricain pour vous renseigner sur les exigences applicables Ă  votre dit, voici ce qu’il vous faudra en gĂ©nĂ©ral Des passeports pour tous les membres de la familleVotre visaUn formulaire I94 que vous remettront les agents des douanes quand vous franchirez la frontiĂšreUn formulaire HS7 pour chacun des vĂ©hicules que vous utiliserez pendant votre Établir un compte bancaire et carte de crĂ©ditComme vous devrez sĂ»rement payer vos factures aux États-Unis en dollars amĂ©ricains, il vous faudra ouvrir un compte de chĂšques lĂ -bas. Vous pouvez le faire avant de quitter le vous dĂ©cidez de conserver vos comptes bancaires canadiens, assurez-vous de pouvoir transfĂ©rer de l’argent sans problĂšme entre ces comptes et votre compte aux États-Unis. La possibilitĂ© de le faire en ligne, et les frais associĂ©s Ă  ces virements, sont des facteurs importants dans le choix d’un compte aux aussi une carte de crĂ©dit amĂ©ricaine. Vous Ă©viterez ainsi les frais sur opĂ©rations Ă  l’étranger chaque fois que vous faites un achat aux États-Unis. Une carte de crĂ©dit amĂ©ricaine peut aussi vous aider Ă  Ă©tablir votre solvabilitĂ©, chose importante si vous comptez demeurer aux États-Unis pendant un bon moment. Choisissez une carte de crĂ©dit assortie d’avantages pour les voyageurs comme l’assurance accident de voyage ou annulation de voyage, l’assurance pour vĂ©hicule de location, et des points Ă©changeables contre un voyage, des produits, de l’argent en banque, Organiser vos placementsLa gestion de ses placements avant de quitter le Canada pour s’installer aux États-Unis n’est pas simple. Il sera important de faire appel Ă  un conseiller accrĂ©ditĂ©, habilitĂ© Ă  travailler avec des rĂ©sidents du Canada et des États-Unis. Il en va de la gestion saine et efficace de vos placements enregistrĂ©s et non nombreux facteurs sont en jeu. Consultez la cinquiĂšme partie de cette sĂ©rie pour des conseils et des stratĂ©gies sur les maniĂšres fiscalement avantageuses de gĂ©rer vos placements dans le respect des rĂšgles de l’Agence du revenu du Canada et de l’Internal Revenue Obtenir une assurance maladieVu le rĂ©cent changement d’administration, vous avez intĂ©rĂȘt Ă  garder un Ɠil sur l’évolution des politiques en matiĂšre de soins de santĂ©. Pour en savoir plus sur les soins de santĂ© aux États-Unis et les critĂšres actuels, allez au s’agit d’un premier sĂ©jour prolongĂ© aux États-Unis, il est important de souscrire une assurance maladie pour visiteurs avant de quitter le Canada. Elle vous sera utile si vous devez vous faire soigner avant l’entrĂ©e en vigueur de votre assurance maladie Amener pitou ou minouSi vous avez un chien ou un chat ĂągĂ© de plus de trois mois, vous devrez fournir la preuve qu’il a Ă©tĂ© vaccinĂ© contre la rage et un certificat du vĂ©tĂ©rinaire attestant de sa bonne que la liste ne soit pas exhaustive, voilĂ  donc quelques sujets de rĂ©flexion alors que vous planifiez un sĂ©jour prolongĂ© aux États-Unis. D’autres articles de la sĂ©rie actuelle fournissant de l’information Ă  ce sujet paraĂźtront bientĂŽt. Restez Ă  l’affĂ»t !RBC Bank dĂ©signe RBC Bank Georgia, National Association RBC Bank », une filiale amĂ©ricaine en propriĂ©tĂ© exclusive de Banque Royale du Canada. Elle est membre de la Federal Deposit Insurance Corporation FDIC » des États-Unis. Les comptes de dĂ©pĂŽt amĂ©ricains sont assurĂ©s par la FDIC jusqu’à concurrence du montant maximum prĂ©vu par la loi. Les produits et services bancaires amĂ©ricains sont offerts par RBC Bank. Les produits et services bancaires canadiens sont offerts par Banque Royale du Canada. Les comptes de dĂ©pĂŽt amĂ©ricains ne sont pas assurĂ©s par la SociĂ©tĂ© d’assurance-dĂ©pĂŽts du Canada SADC ».Un autre article de la sĂ©rie Quitter le Canada pour les États-Unis » Expand disclaimersCollapse disclaimers Le prĂ©sent article vise Ă  offrir des renseignements gĂ©nĂ©raux seulement et n’a pas pour objet de fournir des conseils juridiques ou financiers, ni d’autres conseils professionnels. Veuillez consulter un conseiller professionnel en ce qui concerne votre situation particuliĂšre. Les renseignements prĂ©sentĂ©s sont rĂ©putĂ©s ĂȘtre factuels et Ă  jour, mais nous ne garantissons pas leur exactitude et ils ne doivent pas ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme une analyse exhaustive des sujets abordĂ©s. Les opinions exprimĂ©es reflĂštent le jugement des auteurs Ă  la date de publication et peuvent changer. La Banque Royale du Canada et ses entitĂ©s ne font pas la promotion, ni explicitement ni implicitement, des conseils, des avis, des renseignements, des produits ou des services de tiers. Un bilan de notre vie peut ĂȘtre parfois ĂȘtre positif ou nĂ©gatif. Soit, nous sommes fiers de ce que nous avons accompli et cette fiertĂ© nous motive Ă  en faire davantage. Soit, le bilan est dĂ©sastreux. Dans le deuxiĂšme cas, on est dĂ©sespĂ©rĂ© au point oĂč on peut se dire qu’on n’est pas Ă  sa place. Cette idĂ©e vous hante et vous torture jusqu’au jour oĂč vous dĂ©cidez de tout plaquer et partir, mais voila vous n’avez rien. Alors comment changer de vie sans argent ? Lisez la suite de cet article si vous ĂȘtes dans cette situation. Sommaire1 Changer de vie sans argent ? Comment concrĂštement ?2 DĂ©terminer sa vie de rĂȘve3 Dominer ses peurs4 Cultiver la dĂ©termination5 Repartir de zĂ©ro sans argent6 Comment changer de vie sans argent place Ă  l’action7 En rĂ©sumĂ© Changer de vie sans argent ne sera pas chose facile. Certains vous diront mĂȘme que c’est impossible. S’ils le disent renvoyez-les Ă  cet article aprĂšs lecture. Pour y parvenir, il faut y aller Ă©tape par Ă©tape. Faire le bilan, oui faire le bilan. Je suis conscient que le fait de tout quitter rĂ©sulte d’un bilan dĂ©sastreux que vous avez fait sur votre vie. Mais, cela ne suffit pas. Posez-vous les bonnes questions. Pourquoi voulez-vous partir ? Quelle est la motivation du changement de vie ? Qu’est-ce qui vous gĂȘne dans votre vie actuelle ? N’y a-t-il aucune solution ? Autant de questions Ă  se poser avant de prendre une dĂ©cision parce qu’il ne s’agit pas d’une dĂ©cision Ă  prendre Ă  la lĂ©gĂšre. Au contraire, cela implique assez de choses. Il faut donc ĂȘtre sĂ»r de son choix. Si vous souhaitez savoir comment changer de vie sans argent, voilĂ  le travail prĂ©alable Ă  faire rigoureusement. DĂ©terminer sa vie de rĂȘve Une fois que vous ĂȘtes sĂ»r que vous voulez changer de vie, faites la maquette de votre vie de rĂȘve. LĂ  encore ce n’est pas une Ă©tape facile. Elle mĂ©rite assez de rĂ©flexion pour ne pas encore en arriver au point de dĂ©part. L’une des choses qui dominent le plus notre vie est notre Ă©tat d’esprit. Il dĂ©termine la qualitĂ© de vie que nous avons et les choix que nous faisons. Lorsque vous dĂ©cidez de tout plaquer et partir, vous devez dĂ©passer votre Ă©tat d’esprit habituel. Etre dans un Ă©tat oĂč ce changement serait la bienvenue. Cela nĂ©cessite un travail Ă  l’intĂ©rieur de vous-mĂȘme. Une fois cette Ă©tape franchit, la maquette de votre nouvelle vie vous sera prĂ©sentĂ©e clairement. Quelle vie voulez-vous ? De quoi rĂȘvez-vous dans cette nouvelle vie ? Quelle destination voulez-vous atteindre ? Autant de questions qui mĂ©ritent des rĂ©ponses tout en gardant Ă  cƓur la grande question comment changer de vie sans argent ? Car, l’on ne peut prendre un avion si on ne sait oĂč il veut atterrir. Je suis sĂ»r que si je vous offre un billet d’avion gratuit pour une destination inconnue, vous me direz non. Il est de mĂȘme pour votre vie. Une fois que tout est clarifiĂ© Ă  ce niveau, passez Ă  l’étape suivante vaincre la peur. Dominer ses peurs Nous avons tous peur. Oui ! Quelle que soit l’étape oĂč vous en ĂȘtes. Encore plus dans votre cas, la peur sera accrue et vous hantera presque tout le temps. Mais, vous devez pouvoir la dominer et vaincre vos doutes. Transformer vos peurs en motivation, en dĂ©fis que vous devez relever. Vous aurez franchi un pas en y arrivant. Avoir peur peut vous ĂȘtre fatal dans ce processus de comment changer de vie sans argent. Cultiver la dĂ©termination Tout quitter et plaquer n’est pas un truc facile Ă  faire du jour au lendemain. Cela signifie avoir le courage de quitter tout ce qui vous gĂȘne, tout ce qui constitue un obstacle au changement dans votre vie, tout ce qui jusque-lĂ  a constituĂ© votre raison de vivre. Il vous faudra une cargaison de dĂ©termination pour ne pas flĂ©chir au premier obstacle croyez-moi, il y aura des obstacles que vous ayez d’argent ou pas. Si vous avez dĂ©cidĂ© de tout plaquer et partir, c’est surement parce que dans votre vie antĂ©rieure, il y a eu des choses dont vous n’ĂȘtes pas fier. Vous devez avoir le courage de quitter toutes ces choses. Peu importe Ă  quel point cela risque d’ĂȘtre difficile vous y arriverez avec une bonne dose de dĂ©termination. Relisez cet article sur comment ĂȘtre motivĂ© sur le long terme pour booster votre motivation. Repartir de zĂ©ro sans argent Comment changer de vie sans argent ? LĂ  se trouve la vraie question. En thĂ©orie le problĂšme est vite rĂ©solu. Mais en pratique, il faudra un processus. Vous n’avez rien, mais vous voulez quand-mĂȘme plaquer tout ce que vous avez actuellement et partir. AprĂšs avoir pris votre dĂ©cision, vous devez rĂ©flĂ©chir Ă  la stratĂ©gie Ă  mettre en place pour atteindre votre vie rĂȘvĂ©e. Asseyez-vous, prenez une feuille et un stylo. Mettez-y les objectifs de votre nouvelle vie et Ă  chaque objectif associez des moyens qui vous permettront de les atteindre. Puisque vous n’avez rien vous me demanderez-vous sĂ»rement comment c’est possible. Mais laissez-moi vous dire, il y bien de choses que l’on pourrait faire sans avoir une seule piĂšce d’argent en matiĂšre de changement. Si je suis un simple livreur de pizza actuellement et je dĂ©sire changer de vie, pensez-vous que je n’y arriverai pas ? Eh bien oui c’est possible. En suivant le processus, dĂ©terminez dĂ©jĂ  ce que vous voulez et dans la suite de ce paragraphe je vous dirai comment atteindre l’objectif. Maintenant donnons prioritĂ© Ă  l’action concrĂšte pour y arriver. En dĂ©cidant de tout changer dans votre vie, vous avez sans doute de nouveaux projets, de nouvelles raisons de vivre, vous rĂȘvez grand. Ne tombez surtout pas dans le piĂšge de tout vouloir dĂšs le dĂ©but. Et d’ailleurs vous n’avez pas d’argent. Que vos motivations restent dans la limite de vos possibilitĂ©s. Changer de vie sans argent, c’est accepter que la rĂ©ussite ne vient qu’au bout de l’effort. Vous connaissez sans doute cette cĂ©lĂšbre citation Le succĂšs c’est d’aller d’échec en Ă©chec sans perdre son enthousiasme. » Winston Churchill Comment changer de vie sans argent ? C’est en mettant en place une stratĂ©gie que vous parviendrez Ă  obtenir de grand rĂ©sultat. La stratĂ©gie est trĂšs importante. J’en reviens Ă  mon exemple du livreur de pizza qui aprĂšs rĂ©flexion a dĂ©cidĂ© d’ĂȘtre un artiste. Eh ben il plaque la pizza, il se met Ă  chanter dans la rue. Courageux n’est-ce pas ? C’est de ce courage que je parlais en dĂ©but de cet article. Rien ne lui garantit qu’en chantant dans la rue il y parviendrait. Mais, il a tout lĂącher. En chantant de rue en rue, un producteur le repĂšre un jour et lui signe un contrat. Son objectif est atteint ou pas ? Si vous ĂȘtes dans le mĂȘme cas que ce livreur de pizza, prenez courage et foncez. Des exemples du genre, il y en a des centaines et des centaines. La rĂ©ussite d’un changement ne se trouve pas d’abord dans l’argent. Il faut surtout avoir la motivation pour surmonter les Ă©checs que vous rencontrerez. En rĂ©sumĂ© Pour conclure, retenez que la premiĂšre Ă©tape est de trouver la motivation qui nous pousse Ă  changer de vie. Ensuite avoir le courage de tout plaquer, de tout abandonner pour se lancer. Et ensuite place Ă  l’action. Ce n’est pas un processus facile, mais cela est bel et bien possible. Vous avez dĂ©jĂ  dĂ©cidĂ© de tout plaquer et partir sans argent ? Racontez-nous votre expĂ©rience en commentaire sur comment changer de vie sans argent. J'ai tout quittĂ© pour ouvrir un camping en famille Depuis quand vous occupez-vous du camping Le Vercors? J’entame ma sixiĂšme saison estivale. C’est la concrĂ©tisation d’une reconversion professionnelle. En tant que responsable qualitĂ© dans des PME de transports, je rĂ©digeais des normes, sans savoir ce qu’elles devenaient concrĂštement. Or, j’avais soif de constater le fruit de mon travail. J’en ai dĂ©veloppĂ© une certaine frustration, nourrie par la crise de la quarantaine». Durant toute une annĂ©e, j’ai donc pris le temps de rĂ©flĂ©chir Ă  ce que je voulais faire. Et, finalement, je suis revenue Ă  une idĂ©e qui m’avait traversĂ© l’esprit quand j’avais 25 ans acheter un camping. Quels sont les critĂšres qui ont orientĂ© votre choix? J’ai appris que le camping Le Vercors , Ă  Autrans, Ă©tait en vente. Nous y avions sĂ©journĂ© les Ă©tĂ©s 2006 et 2010. Avec mon mari, nous nous Ă©tions mĂȘme dit Ah qu’il est sympa ce camping, c’est exactement cela qu’il nous faudrait! » À l’époque, nous Ă©tions loin d’imaginer que nous en serions un jour propriĂ©taires! C’est l’un des plus petits de la rĂ©gion avec 59 emplacements. Avant de me dĂ©cider, j’ai visitĂ© beaucoup d’établissements. J’avais des critĂšres trĂšs prĂ©cis un lieu Ă  taille humaine, situĂ© dans un village qui vive toute l’annĂ©e, pour que ma fille puisse poursuivre ses Ă©tudes jusqu’au baccalaurĂ©at. À proximitĂ©, Ă  Villard-de-Lans, il y a un lycĂ©e. Enfin, je dĂ©sirais un camping oĂč il y aurait tout Ă  faire. Initialement, il n’existait que des emplacements pour des tentes et des caravanes. J’avais la libertĂ© d’imaginer enfin un espace selon mes envies. Et quelles sont-elles? Un camping familial, oĂč toutes les gĂ©nĂ©rations puissent partager de bons moments enfants, petits-enfants, parents, grands-parents. Que chacun trouve son espace de libertĂ©, tout en Ă©tant en sĂ©curitĂ©. Et puis cultiver la convivialitĂ© en offrant l’opportunitĂ© aux campeurs de se connaĂźtre, mais sans organiser des quiz apĂ©ros, des karaokĂ©s, des soirĂ©es en discothĂšque. Ici, c’est la dĂ©tente, le calme, la nature avant tout. Une fois par semaine, nous convions les clients, moyennant une participation, Ă  partager un repas autour d’une grande tablĂ©e. RĂ©sultat les vacanciers se saluent quand ils se croisent, beaucoup partent ensuite en balade ensemble. L’important est de crĂ©er des liens. Des clients nous invitent mĂȘme chez eux, quand la saison est terminĂ©e. Nous aussi avons besoin de vacances! Nous fermons quelques semaines Ă  PĂąques et Ă  la Toussaint pour souffler. Votre camping est ouvert l’étĂ© et l’hiver. En quoi ces saisons sont-elles diffĂ©rentes? L’hiver, le plus gros travail est d’accueillir les clients le premier jour, avant qu’ils vaquent Ă  leurs activitĂ©s sportives ski, raquettes, chiens de traĂźneau, luge
 Et, une fois la nuit tombĂ©e, ils rentrent chez eux » au camping. Le repas collectif est d’autant plus important que c’est le seul moment de leur sĂ©jour durant lequel les clients se retrouvent ensemble. L’étĂ©, il y a deux sortes de vacanciers. Ceux qui restent au camping pour profiter des Ă©quipements, comme la piscine, le terrain de boules, etc., et ceux qui sont Ă  l’extĂ©rieur toute la journĂ©e. Votre camping est devenu une vĂ©ritable petite entreprise? En effet. Avec mon mari, nous nous faisons aider par une femme de mĂ©nage et par des animateurs. En ce moment, ma fille est embauchĂ©e pour s’occuper du club-enfant et du tir Ă  l’arc. J’ai fait aussi appel Ă  des neveux. Enfin, nous avons dĂ©veloppĂ© une offre de restauration. Nous avions dĂ©marrĂ© avec une partie snack», puis, l’annĂ©e derniĂšre, nous avons lancĂ© un service de pizzas Ă  emporter. Y a-t-il des choses qui vous dĂ©plaisent dans votre mĂ©tier? Parfois il y a du bruit. Je dĂ©teste devoir rappeler Ă  l’ordre certains clients au nom du vivre-ensemble. Quelle est votre plus grande satisfaction? Faire dĂ©couvrir les richesses de la rĂ©gion du producteur de fromages Ă  l’artisan local, en passant par un point de vue sur le massif du Mont-Blanc, des grottes
 Nous avons nĂ©gociĂ© des sorties avec des prestataires locaux pour des randonnĂ©es en famille, du paintball pour les adolescents, des baptĂȘmes de spĂ©lĂ©ologie, du canyoning, de l’escalade. J’aime prĂ©senter aux clients toute cette diversitĂ©, mais aussi partager des sorties avec eux. L’hiver, il m’arrive d’en inviter certains Ă  faire du ski de fond. En septembre, je les accompagne aux champignons. Lors d’une saison, j’ai toujours quatre Ă  cinq clients qui me confient qu’ils aimeraient bien acheter, eux aussi, un camping. Ils doivent penser que je suis en vacances
 Et ce n’est pas le cas? Pas vraiment! Outre l’entretien des infrastructures, mon mari et moi continuons Ă  installer de nouveaux Ă©quipements des mobilhomes, des chalets. ParallĂšlement, il faut Ă©laguer les haies, tondre les pelouses. En saison hivernale, il s’agit de dĂ©neiger. Et puis, il y a toute la partie commerciale actualiser notre site Internet, faire connaĂźtre notre camping auprĂšs des voyagistes, gĂ©rer les rĂ©servations en ligne. Enfin, il y a un travail permanent de mise aux normes l’accĂšs des lieux aux personnes handicapĂ©es, les rĂ©glementations sanitaires, le contrĂŽle de l’eau, la sĂ©curitĂ© des installations Ă©lectriques
 Est-il difficile de travailler avec son Ă©poux? C’est toujours un dĂ©fi pour notre couple. Jusqu’à prĂ©sent, ça fonctionne ! Mon mari est heureux que je prenne de l’assurance alors que je manquais de confiance en moi. Notre fille voit ses parents Ă©panouis. Depuis que nous avons quittĂ© Lyon, notre niveau de vie a baissĂ©. Mais le salaire n’est pas le plus important. Nous avons dĂ©cidĂ© de privilĂ©gier notre vie familiale. Avec le camping, nous vivons bien, nous avons moins de frais pour nous nourrir, nous loger. Et puis, nous nous enrichissons d’une autre maniĂšre, par les rencontres. En cinq ans, avez-vous constatĂ© des mutations dans votre secteur d’activitĂ©? ComplĂštement. Autrefois, les tĂąches principales consistaient Ă  accueillir des clients et Ă  entretenir les installations. Aujourd’hui, les professionnels du secteur ont Ă©voluĂ©. Ils ont compris que les clients ont besoin de repos mais aussi de pratiquer de nouvelles activitĂ©s, Ă  leur rythme, selon leurs envies. Ici, chaque annĂ©e, il y a des nouveautĂ©s. Pour cet Ă©tĂ©, nous avons installĂ© des cabanes nature», des sortes de tentes en bois. En Cornouaille, la mer et la campagne ne sont jamais loin. Les villes moyennes et les villages offrent un cadre naturel qui attire de plus en plus. Natacha s'est installĂ©e Ă  Quimper. Matthieu Ă  Concarneau. Ils ont laissĂ© derriĂšre eux le bitume et la frĂ©nĂ©sie parisienne pour ce coin du FinistĂšre oĂč ils bĂątissent leur nouvelle vie. C'est bien simple Natacha De Franco ne jure plus que par la Bretagne. En particulier Quimper, dans le FinistĂšre oĂč elle s'est installĂ©e il y a six mois, avec mari et enfants. Cette VendĂ©enne d'origine, expatriĂ©e dans les Yvelines Ă  23 ans - oĂč elle ne s'est jamais vraiment acclimatĂ©e - se sent enfin dans son Ă©lĂ©ment. "Vivre ici, ça ouvre l'horizon". Elle n'arrive pas non plus en terre inconnue. Sa belle-famille vit Ă  quelques encablures de la capitale de la Cornouaille, en bord de mer. "C'est mon mari qui m'a fait dĂ©couvrir le FinistĂšre, raconte Natacha. C'Ă©tait notre destination pour les vacances. Quand on venait, je m'accordais systĂ©matiquement une journĂ©e en solo pour flĂąner Ă  Quimper. Ce que je ne faisais jamais en rĂ©gion parisienne. J'adore cette ville. La cathĂ©drale, les rues pavĂ©es, les terrasses, tout me plaĂźt". On voulait une autre qualitĂ© de vie pour les enfants Les annĂ©es passent. Jusqu'Ă  ce jour de l'Ă©tĂ© 2021 oĂč la dĂ©cision est prise de dĂ©mĂ©nager. "On a littĂ©ralement tout plaquĂ©" dit-elle. BenoĂźt, le mari, dĂ©missionne de son poste de directeur technique d'une salle de concert. La jeune femme, qui a opĂ©rĂ© deux ans plus tĂŽt une reconversion du secteur bancaire vers le mĂ©tier de praticienne en massage bien-ĂȘtre, ferme son cabinet. "On se questionnait depuis un moment sur ce qui nous retenait Ă  Paris. On voulait une autre qualitĂ© de vie pour les enfants". Loin du bitume, du bruit, du rythme effrĂ©nĂ©, "du flot dans lequel on Ă©tait pris malgrĂ© nous, admet-t-elle. MĂȘme ma mĂšre me disait 'mais si vous continuez comme ça, vous allez mourir avant la retraite !'. C'Ă©tait devenu chronophage". Ralentir, respirer. Se poser. Changer le cadre dans une ville "Ă  taille humaine" qui a les avantages de la vie urbaine sans ses inconvĂ©nients. Savourer les grands espaces. Autant de raisons qui permettent Ă  Natacha de renouer avec la sĂ©rĂ©nitĂ©. "Mais je serai encore plus sereine quand mon mari aura retrouvĂ© un job, confie-t-elle. MalgrĂ© cela, mĂȘme si c'est parfois dur, il ne regrette rien. Il est heureux d'ĂȘtre ici. Les enfants ont trouvĂ© leur Ă©quilibre trĂšs vite. Et puis, on les avait impliquĂ©s dans le projet dĂšs le dĂ©but, il y a eu des discussions en famille autour de ce dĂ©part". Elle a ouvert son nouveau cabinet au coeur de Quimper, dans une ancienne chapelle aujourd'hui rĂ©habilitĂ©e en immeuble de bureaux. Une statue de Bouddha accueille la clientĂšle. L'activitĂ© dĂ©marre doucement. "C'est une terre de guĂ©rison, le FinistĂšre, sourit-elle. Je viens d'une lignĂ©e de guĂ©risseurs, je suis sensible aux Ă©nergies. Je suis persuadĂ©e que ma place est ici". Plus au sud, Matthieu HonorĂ© travaille avec vue sur mer. "Je vois les bateaux et des beaux couchers de soleil le soir" souligne-t-il. A des annĂ©es-lumiĂšre du bureau qu'il occupait dans un espace de coworking, Ă  Montreuil, il y a encore deux ans. A Port-La-ForĂȘt, ce spĂ©cialiste de la communication et des relations presse dans la voile ne pouvait pas trouver meilleur spot. Dans le carnet d'adresses de la sociĂ©tĂ© qu'il a montĂ©e en 2016 l'Ă©cole de voile des GlĂ©nan, la fĂ©dĂ©ration française de voile, des skippers de la course au large, entre autres. Quitter l'Est de Paris pour le FinistĂšre tombait sous le sens. Pourtant, c'est un peu le hasard qui a conduit Matthieu au bout du monde. Ou plutĂŽt une opportunitĂ© professionnelle que sa femme, directrice de l'US CrĂ©teil, a saisi au bond. "Elle cherchait Ă  changer de boulot, relate-t-il. Sa candidature a Ă©tĂ© retenue par 'Under the pole' une structure spĂ©cialisĂ©e dans l'exploration polaire sous-marine, NDLR. Cette proposition collait Ă  ce qu'elle avait fait. C'Ă©tait difficile de dire non". Quand les planĂštes s'alignent, elles pointent en direction de Concarneau oĂč le couple et ses deux enfants dĂ©barquent juste avant le premier confinement, en 2020. "On n'a pas quittĂ© Paris par rejet de Paris, prĂ©cise Matthieu. On s'Ă©tait dit que si, professionnellement, une occasion se prĂ©sentait, on partirait. On n'a pas forcĂ© les choses. Et pour ĂȘtre franc, le FinistĂšre, on voyait cela un peu loin par rapport Ă  nos familles". Lui, le Rennais, elle, la VendĂ©enne, se sont pourtant rapidement sentis chez eux en Cornouaille. Les enfants, mĂȘme s'ils n'Ă©taient pas complĂštement emballĂ©s Ă  l'idĂ©e de quitter leurs amis parisiens, ont fini par trouver leurs marques. "C'est chouette aussi pour eux, constate Matthieu. Ce dĂ©mĂ©nagement leur a donnĂ© confiance dans leur capacitĂ© Ă  s'intĂ©grer, Ă  changer de lieu de vie". Surf, planche Ă  voile, bateau Ă  portĂ©e de mains. On n'est pas loin de l'image de carte postale. "On a un cadre de vie magnifique, c'est vrai, reconnaĂźt ce passionnĂ© de voile. Et tout est Ă  proximitĂ©". Le couple avait dĂ©jĂ  tentĂ© un petit intermĂšde en Bretagne, alors qu'il venait d'arriver Ă  Paris il y a une vingtaine d'annĂ©es. "On a vĂ©cu Ă  Saint-Brieuc pendant plus d'un an, prĂ©cise Matthieu, mais cela n'a pas fonctionnĂ©. On n'Ă©tait pas prĂȘts. Cette fois, c'est diffĂ©rent". Ils y sont. Ils y restent. Comme quoi, la Cornouaille, ça vous gagne ! Émilie Thuillier et Guillaume Michel ont pris une dĂ©cision aussi radicale que courageuse. AccompagnĂ©s de leurs deux enfants, ils vont quitter la Belgique et la campagne honnelloise pour aller vivre Ă  Tahiti. Émilie nous dĂ©taille ce changement de vie. Émilie et sa famille partent vivre Ă  Tahiti. - ******** ********* **** ** ***** ** ******* ** ******** **** ************* ******* *** ************ ** ******** ** ***** ****** ******* ** *********** ** * *** ********** ** **** ** *** ***** **** *** ********* ***** ********** **** ****** ***** ***** ****** ******* **** ******* ** ***** ** ******* ******* ****** **** ***** **** ***** ******** **** ******** ********* ***** ** ****** **** *** ********* ** * **** ***** ** ***** ** ******* *** **** ************ ** *** *** ****** ** ** **** ****** ****** ************* ** **** ** **** ** **** ************ ************ ************** ****** ******* ** **** **** *** ********* *** ********* ** ** **** **** ********** **** ** ******** ******** ************* ** ********** *** ** *** ***** ******** *** ** * * ****** ***** ************* ** ***** ************* ********** ** **** ***** ** ***** ** **** ** ** ****** ** ** ************ ************** ** **** ***** ** **** ** *** **** ****** ** ***** ** ** **** ******* ****** ** ***** ** ******** *** **** *** ** ******* ** ***** ** ***** ** * **** *** ****** **** *** **** ******** ***** ** * ** *** ***** ** *** ************** ** ************** ******* *** ******** ** ** ********** *********** ***** ***** ** *** ******** ** * ******** ***** ***** ********** En savoir + sur Des Honnelles aux USA Maxence, 18 ans, part Ă©tudier Ă  kilomĂštres de chez lui Par Charly Mercier Journaliste La Province LA MEUSE LiĂšge le 05/08/2022 Ă  0504 Maxence Guerdin vient de terminer sa rhĂ©to Ă  l’école de la Sainte-Union Ă  Dour. Encore indĂ©cis sur son avenir, le jeune Ă©tudiant de 18 ans a pris la dĂ©cision de quitter la Belgique et les Honnelles pour les États-Unis. Il explique son choix. AprĂšs avoir fini leurs Ă©tudes secondaires, bon nombre d’étudiants se posent des questions sur leur avenir et leurs futures Ă©tudes. Certaine dĂ©cident alors de partir Ă  l’étranger pour y effectuer une deuxiĂšme rhĂ©to. 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AprĂšs avoir vendu leur maison et achetĂ© un van, ils viennent d’entamer le tour de l’Europe. Une aventure qu’ils partagent avec leurs deux chiens! Faire le tour du monde, certains d’entre vous y ont certainement dĂ©jĂ  songĂ©. Mais entre l’évoquer et passer Ă  l’action, il y a un gouffre. Gouffre que MĂ©gane Valcke, 27 ans, et Jeremy Konarski, 29 ans, ont dĂ©cidĂ© de franchir avec leurs deux chiens, Levis et Eva! 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tout quitter pour vivre dans le sud