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Pouraugmenter son estime de soi, une des stratégies consiste à augmenter la valeur que vous vous donnez. Cependant cette valeur peut parfois décroitre au fils des évènements qui peuvent marquer votre vie. Une des solutions consiste à supprimer le jugement qu’on a envers soi-même : « Il s’agit de s’accepter, tel que l’on est »
Lemanque d’estime de soi est souvent relié à l’importance que l’on accorde au regard et au jugement des autres. En hypnose, pour l’augmenter, nous travaillons plutôt au niveau de l’identité, de la valeur et du savoir-être. l’amour de soi Pour l’amener à s’aimer, nous guidons la personne dans la bienveillance.
Lestime de soi est l’évaluation que nous faisons de nous-même, la conscience que nous avons de notre propre valeur et de son importance en tant qu’être humain. Elle est aussi fondée sur le sentiment de sécurité que nous procure la certitude de pouvoir utiliser nos capacités, notre libre-arbitre et nos facultés d’apprentissage, pour faire face de manière efficace et
ExerciceN°4 pour une solide estime de soi : le dézoom mental En fait, il s’agit de ce que l’on appelle le recadrage en hypnose et PNL l’objectif, c’est que, lorsque tu te retrouves face à une situation où tu manques de confiance en toi, tu vas tout simplement dézoomer la situation à l’échelle de tes autres expériences, depuis le début de ta vie.
Dansle cas où la baisse de l’estime de soi est trop faible, il en résulte souvent des problématiques comme la dévalorisation de soi, timidité, angoisse, trouble du comportement alimentaire social ou psychologique, déprime, dépression Une personne qui a une mauvaise estime d’elle-même pourra :
Lieux De Rencontre Aix En Provence. La séparation amoureuse est un deuil, dont il faut respecter les étapes pour s’en remettre l’accepter, faire sienne la colère, la dépasser. Mais certains ne cicatrisent jamais totalement de ces déceptions sentimentales. C’était il y a 10 ans, lors d’une soirée printanière d’avril 2012. Myriam et son mari s’apprêtaient pour une soirée en amoureux. Ma mère, qui vivait dans le studio mitoyen, gardait notre fils, se souvient l’informaticienne de 47 ans. On avait une vie de rêve, on sortait quand on voulait grâce à ce baby-sitting à domicile et aux moyens financiers dus à une récente promotion de mon mari ». Mais quand Myriam sort de son dressing, elle découvre son conjoint depuis huit ans fébrile, une bouteille de whisky à moitié vide devant lui. Il explose, dit qu’il ne peut plus rester prisonnier d’une mascarade, qu’il ne m’aime plus, qu’il ne veut plus de cette vie et part en claquant la porte. » Pendant une semaine, leur appartement résonne d’un silence assourdissant. Son mari disparaît, ne répond à aucun appel ni sms. Myriam et leur fils sont désemparés. Comme si ce traumatisme de la rupture ne suffisait pas, mon ex s’est ensuite transformé il ne voulait pas endosser le mauvais rôle et cherchait à tout prix à me faire passer pour une mauvaise mère », raconte-t-elle. Quand elle part à Nice chez des amis avec son fils pour se ressourcer, il porte plainte pour enlèvement d’enfant. Quand elle fait changer les serrures de leur appartement pour qu’il cesse d’aller et venir à toute heure, il attaque la porte à grands coups de pieds. Aujourd’hui, elle a refait sa vie. Mais je ne suis pas amoureuse. Pour dire je t’aime, il faut faire confiance et se faire confiance. Moi, j’ai perdu toute confiance dans mon radar interne, mon jugement », confie-t-elle. Certaines ruptures laissent leurs cicatrices, même invisibles, et s’inscrivent dans les corps et les esprits. Dix ans plus tard, des questions obsèdent encore Myriam. Elle sait qu’elle ne pourra pas avancer tant qu’elle n’y aura pas répondu. Les conséquences d’une séparation dépendent, notamment, de l’intensité de la relation. Une séparation se vit comme un deuil, avec les mêmes étapes. Certaines personnes vont mobiliser leur capacité à se réinvestir, leur résilience, et la rupture laissera une trace plus ou moins tangible, mais sans forcément les handicaper. D’autres ne s’en remettent jamais totalement. Si la séparation est subie, comme pour Myriam, il y a forcément une baisse d’estime de soi, une dévalorisation. La personne doute, se remet en question, et peut alors mettre en place des mécanismes de défense pour ne pas se réinvestir et souffrir autant. Sophie a le même âge que Myriam. Elles ne se connaissent pas, mais ont en commun d’être prisonnière de leur rupture. C’est pourtant moi qui ai quitté Marc, il y a vingt ans déjà , précise Sophie. Je suis partie car je n’éprouvais plus de sentiments, nous étions devenus les meilleurs amis du monde, mais plus de désir, plus de passion ». Le problème depuis, c’est qu’aucun des hommes rencontrés n’est Marc. À la fin, le constat est toujours le même pas assorti, pas en phase. Je pense que je l’ai rencontré trop tôt, j’avais 20 ans à peine. Peut-être que si nous avions été plus âgés, on aurait su ne pas laisser l’érosion saper les sentiments. » Tor Wager, directeur du laboratoire de neurosciences cognitives et affectives de l’université de Dartmouth, aux États-Unis, a scruté le cerveau des amoureux au moment de la séparation. Ses recherches ont prouvé que la rupture amoureuse provoque les mêmes effets qu’un sevrage brutal chez un toxicomane. Une douleur intense, presque physique. Nous avons montré que, même si les zones du cerveau réagissant à la souffrance physique et à la rupture sentimentale sont distinctes, la façon dont elles activent la douleur est similaire », décrit-il. En clair, la souffrance sentimentale est à comprendre au sens littéral. Et comme pour toute autre blessure, le rétablissement demande du temps, de la patience et l’aide d’un psy expérimenté. L’ombre de cet amour déçu planera toujours au-dessus de certains, et sera comparable à un fruit défendu. Cinq ans après s’être séparée de Franck, Diane s’est bâtie une famille. Elle a épousé un autre homme, qu’elle aime. J’ai refait ma vie, mais Franck restera toujours dans un coin de ma tête », assure-t-elle. Après des mois sans croiser son ex, il lui suffit de le rencontrer au détour d’une soirée pour que, le temps d’une seconde, l’idée qu’elle se trouve peut-être là face à l’homme de sa vie, l’ébranle. Aussitôt pourtant, sa raison lui souffle l’inverse. Leurs aspirations différaient trop et surtout, son mari surpasse son ex, en tout point. J’ai accepté que Franck et notre rupture restent un morceau de moi et pas seulement de mon passé. Nous sommes la somme de nos expériences vécues », lance-t-elle. Son cœur brisé il y a cinq ans, Diane assure en avoir recollé les morceaux. Un peu comme avec un Kintsugi, vous connaissez ?, interroge-t-elle. C’est une technique japonaise de réparation de porcelaines qui consiste à sublimer les fêlures avec de la poudre d’or, plutôt qu’à les masquer. » . -> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation par Skype, WhatsApp, Zoom, ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog duva ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂
En français, le terme hypnose désigne à la fois des états modifiés de conscience, les pratiques thérapeutiques utilisées pendant cet état, et les techniques permettant de créer cet état appelées techniques d’induction. Lorsqu’un individu est dans un état d’hypnose, ses perceptions sont modifiées par rapport à son état ordinaire. Les caractéristiques de ces états sont variées, notamment perte des repères spatio-temporels, hallucinations, analgésies, anesthésies, etc. L’expérience hypnotique d’une personne dépend de sa personnalité, du contexte, de la méthode employée, des suggestions qui lui sont faites, de la profondeur de l’induction hypnotique, et d’autres paramètres. Une personne peut également développer une hypnose spontanée ou provoquer soi-même sa propre hypnose. On parle alors d’autohypnose. Il existe un débat ancien entre ceux qui considèrent l’hypnose comme un état mental spécifique et ceux qui le considèrent comme un jeu de rôle comportemental en réponse pour se conformer à une attente, ainsi que des positions médianes. Etymologie Séance d’hypnose, par Richard Bergh, 1887. Le terme hypnose » est un dérivé de hypnotisme ». Le mot hypnotisme » est proposé par Étienne Félix d’Henin de Cuvillers dès 1820, lui-même dérivé de l’adjectif hypnotique » signifiant qui provoque le sommeil et déjà en usage en médecine. Après la publication en anglais en 1843 de l’ouvrage du chirurgien écossais James Braid Neurypnology ; or the rationale of nervous sleep, considered in relation with animal magnetism, le terme hypnotisme » se répand parmi les médecins français pour désigner un sommeil ou un somnambulisme provoqués volontairement et artificiellement. On ne parle plus de sommeil magnétique provoqué par la manipulation d’un fluide magnétique, mais d’un sommeil hypnotique ou d’un état d’ hypnotisme ». Au milieu du xixe siècle, le terme de sommeil magnétique » est quelquefois employé en France. La forme courte hypnose » apparaît en français vers 1880, d’abord pour désigner l’état hypnotique, puis également les diverses pratiques faisant usage de l’état hypnotique hypnose médicale, hypnose clinique, hypnose légale, hypnose de scène. Histoire de l’hypnose Expériences comportementales » d’hypnose à la clinique de Budapest du ministère de la santé mentale et de pathologie. a Suggestion hypnotique de prière. b Suggestion hypnotique de suicide. c Suggestion hypnotique de serment. d L’hypnose produite par un diapason. 1899. En 1878, le professeur et médecin français Jean-Martin Charcot réhabilite l’hypnose comme sujet d’étude scientifique en la présentant comme un fait somatique pathologique propre à l’hystérie. L’histoire de l’hypnose dépasse de beaucoup celle de la psychothérapie. Cette vieille pratique a toujours flirté » avec les frontières entre sciences, occultisme, spectacle, thérapie, etc. Son utilisation dans un cadre thérapeutique a ainsi toujours été source de controverses, sans doute parce que la thérapeutique elle-même est prise dans ce même jeu des frontières entre thérapeutiques officielles scientifiques », thérapeutiques traditionnelles, thérapeutiques spirituelles, etc. Une des controverses qui ont traversé les pratiques hypnotiques est rapportée par Bertrand Méheust dans son travail sur le courant du magnétisme animal Mesmer, Puységur…. L’hypnose comme état de conscience L’hypnose est un état modifié de conscience différent de celui produit par la relaxation ou la méditation. Cet état peut être léger rêverie, transe hypnotique légère, hypnagogique, hypnopompique ou plus profond. L’hypnose offre tant au patient qu’au thérapeute un accès aisé à l’esprit inconscient du patient. Elle permet de s’occuper directement de ces forces inconscientes qui sont sous-jacentes aux perturbations de la personnalité, et elle autorise l’identification de ces éléments de l’expérience de vie d’un individu qui ont de l’importance pour la personnalité et auxquels on doit accorder toute l’attention requise si l’on souhaite obtenir des résultats thérapeutiques. Seule l’hypnose peut donner un accès aisé, rapide et large à l’inconscient, inconscient que l’histoire de la psychothérapie a montré être d’une telle importance dans le traitement des désordres aigus de la personnalité. » — Milton Erickson Léon Chertok considère l’hypnose comme un quatrième état de l’organisme actuellement non objectivable » dont les racines profondes vont jusqu’à l’hypnose animale. Cet état renverrait aux relations pré-langagières d’attachement de l’enfant ». Il se manifesterait électivement dans toutes les situations de perturbation entre le sujet et son environnement. L’altération consciente n’existe que de cause à effet l’utilisation de suggestions verbales en remplace d’autres. Mais si l’on puise dans les items préexistants à l’individu pour les reformuler sans les déformer ou les remplacer, les conduites futures restent en accord avec le conscient, ce qui affecte la mémoire à long terme et confère une durabilité au traitement. L’hypnose dans ce cas dépasse l’état modifié de conscience, qui n’est plus le terme approprié pour définir l’état d’hypnose. D’autres constats actuels, l’état dit de somnambulisme » se visualise avec l’électro-encéphalogramme EEG tel un état de sommeil lent profond comparable au sommeil paradoxal. On devrait aussi parler de surconscient » et non de subconscient pour qualifier les états d’hypnose car ceux-ci remplacent la fonction volontaire du conscient ayant une action dominante sur la motricité. » — Martine Le Coz, Erich Lancaster, L’hypnose et la graphologie, Éditions Du Rocher, 1991. Le Dr Jean Godin, premier spécialiste français de l’hypnose éricksonienne propose dans l’encyclopedie médico chirurgicale la définition suivante qui fait le lien entre les étatistes et les non-étatistes. L’hypnose est un mode de fonctionnement psychologique dans lequel un sujet, parvient à faire abstraction de la réalité environnante, tout en restant connecté à certains stimulus ex. la voix de l’hypnotiseur. Ce débranchement de la réaction d’orientation à la réalité extérieure », qui suppose un certain lâcher-prise, équivaut à une façon originale de fonctionner à laquelle on se réfère comme à un état. Fonctionnement de l’hypnose Avoir conscience de l’inconscient Pour comprendre les méthodes d’hypnose, il est important de comprendre que nous sommes connecté au monde extérieur à travers nos sens. Le cerveau les traite selon 2 circuits le circuit conscient et le circuit inconscient. Si le premier est bien connu de tous puisque l’on en est par définition conscient, le circuit inconscient est très mystérieux. Il existe cependant d’innombrables manifestations de cet inconscient dans la vie de tous les jours, notamment les émotions. D’ailleurs, si on a conscience de ses émotions, leur maîtrise est toujours ardue en raison de leur source inconsciente. Les émotions sont source de comportement la peur, l’amour, etc., ce qui sera utilisé par l’hypnotiseur. Une autre facette de notre inconscient est la perception. La perception est une réaction inconsciente à un stimulus qui peut être une source d’information pour notre conscient. Par exemple si je pique le doigt d’une personne, cette dernière va retirer son doigt avant même d’avoir mal, par réflexe comportement inconscient, et elle ne pourra pas s’empêcher d’avoir mal réflexe inconscient également. Le moment le plus révélateur de l’inconscient s’avère néanmoins être lorsque le conscient se met en pause lorsque l’on dort. Le rêve est donc un acte purement inconscient d’ailleurs la mémoire d’un rêve au réveil s’estompe en quelques secondes en général, et ces rêves dont on a vaguement conscience ne correspondent qu’à une petite partie des rêves que l’on a, la plupart étant totalement inconscient, seulement visible sur un électroencéphalogramme. Il y a d’ailleurs dans le rêve un réflexe – par définition inconscient, qui déconnecte le cervelet de la moelle épinière pour éviter que lorsque l’on s’imagine courir, on se mette à courir réellement dans son lit. Dans de très rares cas, la reconnexion pourtant automatique au réveil peut mettre quelques secondes et on se retrouve dans une paralysie hypnagogique. A contrario, la reconnexion peut s’opérer durant les rêves et on se met alors à bouger dans son lit. Un autre état d’hypnose très classique que tout le monde a vécu est de ne plus avoir conscience d’être dans un fauteuil assis avec des gens autour, lorsque l’on regarde un film. Ce qui conduit à une légère transe hypnotique ou l’on n’entend plus quelqu’un qui nous parle, on ne voit plus cette lumière sur le côté qui nous gênait pourtant au début. Et si on coupe le film brusquement, on met quelques secondes à réaliser que c’est en fait la publicité et qu’on peut se reconnecter à la réalité. Manipuler l’inconscient Le rôle de l’hypnotiseur est dans un premier temps d’ endormir » l’esprit conscient, en diminuant son importance face à l’esprit inconscient dont il va au contraire augmenter les effets. Dès que ces effets sont réels on parle d’état d’hypnose. Cet état peut commencer par de l’hypnose imperceptible, et extrêmement légère. La personne hypnotisée ne se rend en général compte de rien. Puis l’hypnotiseur, va essayer d’augmenter cet état d’hypnose, jusqu’au niveau qu’il désire. Un bon hypnotiseur peut ainsi amener l’hypnotisé jusqu’à une transe très profonde. Cette phase de création de l’état hypnotique se fait au travers de suggestions, c’est-à -dire d’injonctions directes ou indirectes faites à l’inconscient. L’inconscient va alors réagir à ces suggestions. Cette réaction étant induite par les suggestions, on parle de phase d’induction. Déroulement d’une séance d’hypnose En général, une séance d’hypnose se déroule en trois phases potentiellement facultatives la mise en situation ;l’induction l’induction transparente,l’induction hypnotique initiale contenant les fameux tests,l’approfondissement ;le travail le moment où l’on va utiliser l’hypnose dans un but précis. Guillaume SchumacherGuillaume SCHUMACHER a été initié au GODF à l’Orient d’Épinal. Il participe également, quand il le peut, aux Imaginales Maçonnique & Ésotériques d'Épinal organisées aussi par son atelier. Avant d'être spéculatif, il était opératif. Aujourd'hui, il sert la nation dans le monde civil. Passionné de sport et de lecture ésotérique, il se veut humaniste avec un esprit libre et un esprit laïc.
En fonction de nos capacités intellectuelles, de notre environnement ou encore de nos aptitudes physiques, l’estime de soi est l’élément bâtisseur de ce que nous pensons de nous ainsi que de la manière dont nous nous percevons. C’est un concept que nous bâtissons dès le plus jeune âge et que nous renforçons au fil des années. Pourtant nécessaire pour vivre heureux, il est parfois difficile d’avoir une bonne estime de soi et c’est ainsi que nous développons un certain mal-être profond. Avoir recours à l’hypnose pour rebooster l’estime de soi et parvenir à contrer ces croyances néfastes et négatives, est-ce possible ? C’est ce que nous allons voir dans cet article. Quelle est la différence entre confiance et estime de soi ? Lorsque nous parlons d’estime de soi, nous avons tendance à confondre avec la confiance. Pourtant, il s’agit bien de deux concepts différents, mais quelle est réellement la différence ? En son sens, la principale distinction entre confiance et estime demeure dans le ressenti et dans l’action. L’estime de soi se base sur un sentiment équilibré entre l’image du soi idéal et la perception de soi. À l’inverse, la confiance se tourne davantage vers l’action se connaître, croire en ses capacités et en son potentiel, etc. Aussi, l’estime de soi provient d’une construction offerte par notre famille pendant l’enfance grâce aux compliments, aux encouragements ou encore la bienveillance. Du côté de la confiance en soi, on compte sur la manière d’accomplir une action de façon autonome, sereine et adulte. C’est d’ailleurs pour cela que nous considérons la confiance en soi comme éphémère et visible grâce à nos actions quotidiennes. Quelles sont les causes qui font vaciller l’estime de soi ? Directement liée à l’enfance, l’estime de soi provient de l’éducation reçue, de l’entourage familial, amical ou encore scolaire. Lorsque, en tant qu’enfant, nous recevons de mauvaises appréciations, des moqueries, des abus physiques ou encore moraux, il est difficile de se construire une estime de soi solide puisque nous nous sentirons inconsciemment coupables et responsables des mauvais événements. La faible estime de soi peut également venir d’une maltraitance passée, d’humiliation reçue lors d’une relation de couple, de procrastination, d’habitude perfectionniste, etc. Toutefois, ce ne sont pas les seules causes qui font vaciller l’estime de soi. En effet, il existe trois autres raisons à cette oscillation les mauvaises expériences, le manque d’activité professionnelle ainsi que la mauvaise image de son corps. Effectivement, les situations stressantes et les mauvaises expériences personnelles nous suivent et nous affectent tout au long de notre parcours de vie. Ne pas avoir d’activité professionnelle peut également jouer un rôle important sur l’estime de soi puisque nous ressentons un sentiment d’inutilité au sein de notre société qui prône le travail à tout prix. Enfin, la mauvaise image de notre corps peut entraîner une sorte de détresse émotionnelle. En cause, l’image que l’on a de son corps par rapport à un certain standard valorisé par notre société. Avoir des seins trop petits, trop imposants ou encore tombants, par exemple pour la gente féminine. Et pour la gente masculine, être de trop petite taille, avoir un peu de ventre, etc… Êtes-vous vraiment responsable de votre estime ? Bien que nous soyons maîtres de la manière dont nous nous percevons, il s’agit aussi d’un concept multidimensionnel dont fait partie notre sentiment d’importance à l’égard des autres. L’estime de soi dépend ainsi de vous puisque vous êtes le principal concerné par vos expériences, vous êtes donc le seul à pouvoir la remodeler et faire de vous ce que vous souhaitez être. Pour se reconstruire, il est important de connaître les différents attributs liés à l’estime de soi ● la valeur que nous nous accordons ● l’acceptation de nous-même ● votre attitude envers nous-même ● notre sentiment de compétence ● le respect que nous nous accordons ● La valeur que nous nous accordons sera l’évaluation de nos valeurs ainsi que le jugement favorable ou non de nous-même L’acceptation de notre personne rejoint la valeur accordée à nous-même. Elle se base sur notre amour-propre, nos limites, mais aussi nos forces. L’attitude que nous avons envers nous se prouve par notre capacité à nous préparer à une action quelconque en ayant un dialogue intérieur positif. Notre sentiment de compétence, quant à lui, nous permet de faire face à différentes situations avec succès. Cela booste la motivation et la persévérance à notre égard. Enfin, le respect de nous-même permet de nous affirmer, nous différencier et nous définir en temps que personne. Toutes ces caractéristiques sont ainsi une base de construction interpersonnelle dont nous relevons. Pourquoi est-il important d’avoir une bonne estime de soi ? Nous pourrions dire que l’estime de soi est le fondement de notre personne. Nous avons tous déjà entendu cette expression Comment aimer les autres, si je ne m’aime pas moi-même ? » ? Nous avons tendance à croire qu’avoir une bonne estime de soi est égoïste, mais au contraire, il s’agit avant tout d’un sentiment essentiel. Mais alors pourquoi est-il important d’avoir une bonne estime de soi ? Il faut savoir que par l’intermédiaire de l’estime de soi, résulte la confiance en soi. Elle permet d’être heureux en vivant dans le présent, en exprimant nos sentiments, en acceptant les refus, les relations, etc. Nous pourrons également faire face à l’échec sans que notre ego n’en prenne un coup. La bonne estime de soi permet aussi de se réaliser sur le plan personnel en nous affirmant, en osant, en passant à l’action. En raison de cela, nous parviendrons à trouver notre place à l’intérieur de nous, mais aussi dans la vie, dans nos relations amoureuses, dans notre vie de famille. Comment l’hypnose peut vous aider à remonter votre estime ? L’enjeu principal de l’hypnose pour faire remonter votre estime est d’implanter plusieurs propositions d’estime de soi et de confiance à votre inconscient. Lorsque vous avez recours à l’hypnose pour rebooster l’estime de soi, l’hypnothérapeute vous place dans un état de relaxation équilibré entre sommeil et éveil. C’est ce que l’on appelle état modifié de conscience ». Au moyen de suggestions positives, le thérapeute influencera votre subconscient de manière positive pour prendre la place du négatif. Cette prise de conscience a pour but d’agir sur vos croyances néfastes afin de créer un nouveau parcours d’état d’esprit. L’hypnose est une méthode particulièrement efficace si vous souhaitez retrouver durablement vos qualités et votre confiance. En effet, le courage, le calme, la réflexion, la direction, ou encore l’audace naissent de votre estime.
Cet eBook contient le script avec la mise en place d’un signaling / d’un signal idéo-moteur, la mise en place d’un ancrage et les suggestions thérapeutiques pour le travail avec l’inconscient de votre consultante / de votre patiente pour l’aider à se sentir fort et confiant. Pendant votre séance, assurez la détente de votre consultante avant la séance, son installation, votre induction, la mise en place des fusibles, l’approfondissement de l’état hypnotique et vos ratifications. N’oubliez pas, à la fin du travail avec l’inconscient de votre consultante, assurez la pose d’ancrages si nécessaire, les suggestions post-hypnotiques si nécessaire et bien évidemment la sortie de transe / la sortie de l’état hypnotique. Extrait du script “… beaucoup de nos peurs ne sont qu’illusions et il arrive parfois, dans l’obscurité, que l’on pense apercevoir un serpent… alors, on se retrouve effrayé et l’on quitte la pièce alors que peut-être, il aurait suffi d’allumer la lumière pour se rendre compte que ce n’était qu’une corde… la plupart du temps, nos peurs ne sont que des illusions… il suffit d’allumer la lumière pour voir les choses clairement et c’est ce que vous pouvez faire… en ce moment même, vous pouvez simplement prendre conscience que la vie est quelque de trop merveilleux et de trop précieux pour se laisser distraire par de petites choses… vous existez par vous-même et vous pouvez avoir conscience d’être un individu unique, très particulier… il vous sera facile maintenant de changer votre regard sur le monde, sur les autres et sur vous-même… et vous pouvez simplement maintenant prendre conscience que vous avez toutes les capacités et les ressources nécessaires pour atteindre vos objectifs… c’est tellement plus agréable de faire ce qui est le mieux pour soi… c’est tellement plus intéressant de faire les choses lorsque l’on se sent bien… tout cela sera facile pour vous et vous pourrez retrouver en vous-même toute la confiance dont vous avez besoin…”
Pour beaucoup d’entre nous, l’hypnose est apparue dès l’enfance dans le dessin animé de Bugs Bunny, L’Hypnotiseur au cerveau de lièvre, ou dans une autre scène exagérée montrant un personnage louche balançant une montre d’avant en arrière tandis que le protagoniste tombe dans une transe terrifiante. Même à notre époque, l’hypnotisme nous est toujours présenté comme une présence sombre et effrayante. Dans l’un des exemples les plus récents, Get Out de Jordan Peele, l’hypnotisme est utilisé comme un outil pour endormir Daniel Kaluuya et le rendre complaisant alors qu’il est progressivement kidnappé par des racistes. Comme on pouvait s’y attendre, pour ceux qui connaissent intimement les possibilités réelles et positives de l’hypnotisme, ces déformations courantes sont non seulement trompeuses, mais elles dépeignent une image très différente de la réalité. En réalité, la pratique de l’hypnotisme est beaucoup plus proche d’une méditation guidée que d’une transe droguée bien que pour certaines personnes les deux sensations soient inséparables. Certains d’entre nous ont déjà lu et entendu des anecdotes sur des résultats positifs, notamment sur le fait de prendre confiance en soi et de vaincre sa timidité, mais rare sont ceux ayant expérimenté l’hypnose eux-même. Comme la plupart des thérapies brèves qui traitent des émotions, du manque de confiance en soi, des facteurs de stress quotidiens et de l’état mental, les séances d’hypnotisme peuvent être adaptées à une intention ou à un besoin spécifique. Le témoignage d’une personne, dont l’objectif était de reprendre confiance en soi, vous aidera à vous faire une idée sur le sujet. Cette personne souhaitant rester anonyme, nous la nommerons Shella. Avant même d’arriver au centre, Shella savait qu’elle voulait axer sa séance sur la confiance en soi extérieure et sur le fait de se sentir vraiment en paix dans son corps physique. Comme de nombreuses personnes, elle souhaitait avant tout savoir comment avoir confiance en soi et oser vivre pleinement sa vie, sans pensées négatives. Elle souhaite avant tout lâcher-prise sur ses angoisses d’échouer pour aller de l’avant et prendre des risques. Quand elle est arrivée, elle a immédiatement senti son niveau d’anxiété s’apaiser. Il y avait des cristaux achetables partout, des livres sur la méditation et la psychothérapie, de l’eau potable imbibée de cristaux, des perles de verre et des yeux en céramique qui décoraient la façade. C’était un espace manifestement conçu pour mettre les gens dans la zone pour le Reiki, les bains sonores ou l’hypnose. Sa séance d’hypnose était avec la thérapeute Shauna Cummins, qui l’a accueilli très chaleureusement et l’a conduit dans l’arrière-salle pour expliquer le processus. Avant de commencer, Cummins a noté qu’il s’agissait de sa première fois, s’est assurée qu’elle n’avait pas d’anxiété particulière concernant le processus, et lui a demandé quelle était son intention pour la séance. Lorsque Shella a dit à Cummins qu’elle voulait ressentir une concentration calme dans son corps, une capacité à exercer une confiance qui corresponde à la fois émotionnellement et physiquement, elle avait 10 pas d’avance. Shella lui a également confié sa volonté de retrouver confiance en soi pour pouvoir s’épanouir pleinement. Elle a qualifié ce qu’elle décrivait d’intégration, et lui a dit qu’elle aimait particulièrement aider ses clients à entrer dans cet espace de collaboration avec eux-mêmes ». En effet, comme un psychothérapeute ou un spécialiste de le sophrologie, Cummins souhaite avant tout que son patient tende vers une pensée positive, en ce concentrant principalement sur les points forts de leur existence. Cummins a expliqué que l’une des croyances fondamentales de l’hypnotisme est que notre corps contient déjà toutes les connaissances et l’énergie dont nous avons besoin. La pratique est conçue comme un exercice pour nous aider à accéder à n’importe quel trait de caractère dont nous avons estimé à tort qu’il nous manquait, et donc pour Shella, cela signifiait la capacité de se sentir en paix dans son corps et ainsi affronter le regard des autres sans aucune crainte. La séance a officiellement commencé par le fait que Shella a lentement levé son bras droit, tandis que Cummins la guidait. Shella a rapidement fermé les yeux, et on lui a demandé de se visualiser en train de localiser son stress. Une fois que Shella a localisé une zone de stress dans son corps que ce soit par une douleur physique évidente ou par son imagination, on lui a demandé d’imaginer ses respirations évacuant ce stress et faisant de la place pour ce dont elle a besoin. Au début, Cummins a surtout raconté et instruit la séance. Shella prenait une respiration, elle visualisait son stress et ses doutes sur soi-même comme un objet solide pour elle, c’était un rocher, puis elle s’imaginait en train de le retirer de son corps. Après les 10 premières minutes, Cummins lui a fait passer au lit où elles sont passées à la partie interactive de la séance. C’est là que la collaboration avec soi-même a vraiment commencé. Cummins l’a incité à partager les traits de caractère qu’elle souhaite afficher dans les prochains mois, avant de visualiser des scènes de sa vie dans plusieurs mois, avec ces qualités en tête. Elle lui a ensuite demandé de nommer un moment de sa vie où elle a eu besoin de soutien, où son estime de soi était au plus bas, et lui a demandé de visualiser son soi futur rendant visite à son soi passé pour lui donner une affirmation. Tout au long de ce processus d’affirmation, elle l’a invité à échanger des mots entre son futur soi évolué et son passé douloureux. Ses soi voyageant dans le temps devaient nommer les façons dont l’autre soi faisait du bon travail. Ce processus, dit Cummins, est une forme d’intégration entre ce qu’elle souhaite être et ce qu’elle a été. La conversation continue et les visualisations incitées de soi-même voyageant à travers ses émotions exigeaient plus de parole et de réflexion rapide qu’elle ne l’avait prévu, et en ce sens, cela ressemblait beaucoup plus à une thérapie active qu’à une transe. Lorsqu’elles ont terminé la séance, elle s’est sentie plus consciente de la façon dont son corps interagissait avec l’espace physique. Elle pense que c’était en partie parce qu’elle s’était visualisée dans le calme qu’elle souhaitait. Elle s’est sentie plus consciente de la façon dont sa frange tombait, de la façon dont elle remuait ses jambes et de la sensation de sa peau, mais pas d’une façon gênante. C’était plutôt un sentiment de redécouverte, comme lorsque vous sortez d’une salle de cinéma et que vous vous ajustez à la luminosité de l’extérieur. Lorsque Shella a demandé à Mme Cummins si les gens pratiquent l’hypnose par eux-mêmes, c’est-à -dire l’auto-hypnose, comme beaucoup le font avec la méditation, elle a répondu à la fois oui et non. C’est différent de la méditation, car l’hypnothérapie est un processus interactif ; il est difficile de se conduire soi-même dans l’inconscient, aussi profondément qu’avec un hypnothérapeute ou un spécialiste en coaching de confiance en soi. Cependant, Mme Cummins encourage ses clients à créer une pratique quotidienne avant de se coucher pour que leurs visualisations s’imprègnent dans leur cerveau. Pour Shella, elle lui a recommandé de prendre trois états d’esprit qu’elle veut ressentir par exemple clair, présent, libre. Avant de se coucher, elle est censée écrire ces trois états d’esprit pour les ancrer dans son subconscient. Le matin, elle est censée lire et répéter ces états dans son miroir. Et, à la fin de la journée, elle est censée reconnaître et nommer trois choses qu’elle a faite pour soi pendant la journée. Ces pratiques, dit M. Cummins, sont destinées à créer des habitudes de compassion envers soi-même, ce qui l’aide à se sentir plus facilement calme et à l’aise dans son corps. Comme Shella n’a assisté qu’à une seule séance, il lui semble prématuré d’émettre un verdict définitif sur la façon dont l’hypnose a affecté son confort dans son corps. Elle peut cependant affirmer que le processus a été étonnamment relaxant. C’est un travail qui demande de la vulnérabilité, et l’exploration de ses besoins à travers son imagination l’a forcée à se sentir dans sa peau. Elle s’est sentie moins nerveuse pendant plusieurs jours, et les exercices à domicile l’ont forcée à respirer plus profondément et à se ralentir, ce qui lui donne moins envie de sortir de sa peau par insécurité et par anxiété. C’était la première fois qu’elle essayait l’hypnose, mais ce ne sera pas la dernière pour essayer de reprendre confiance en elle et travailler sur son développement personnel. Elle a hâte d’explorer comment ces exercices peuvent lui permettre de se sentir plus à l’aise dans sa propre peau, moins timide, en sortant de sa zone de confort, que ce soit par soi-même ou avec quelqu’un pour la guider. Elle souhaite plus que tout renforcer sa confiance en soi. Le manque d’estime de soi lui a trop souvent empêcher de prendre la parole, de s’exprimer ou bien d’aller vers les autres. Avoir plus confiance en elle lui permettra donc de parler en public, de se sentir mieux et pourquoi pas, prendre confiance dans ses capacités.
hypnose pour l estime de soi